Cercle Richard Wagner Annecy-Savoie

Richard Wagner

C’est le compositeur de l’œuvre intégrale, livret et musique, leitmotive, thèmes récurrents, construction d’un univers que l’on voit naître dans L’Or du Rhin, par exemple.

Admiré, imité, décrié, en quelque sorte insubmersible, il nous fascine encore et toujours.

Qu’a-t-il composé, pourquoi cette fascination ?

Des « brouillons » :

  • Les Fées en 1833, mais créé en 1888.
  • La Défense d’aimer (das Liebesverbot) en 1836
  • Rienzi en 1842

Des opéras « indépendants » :

  • Le Vaisseau Fantôme (ou Hollandais Volant) en 1843
  • Tannhäuser en 1845
  • Lohengrin en 1850
  • Tristan et Isolde en 1865
  • Les Maîtres chanteurs de Nuremberg en 1868.
  • Parsifal en 1876

Et le Ring, L’Anneau du Nibelung, la Tétralogie :

  • Le prologue : L’Or du Rhin en 1869
  • Journée 1 : La Walkyrie en 1870
  • Journée 2 : Siegfried en 1876
  • Journée 3 : Le Crépuscule des Dieux en 1876

Sans oublier :

  • Les Wesendonck Lieder en 1858
  • Et Siegfried Idyll en 1870

La musique de l’avenir

« Le succès de Wagner a été si prodigieux que, pour ses disciples éblouis, il semble que l'ère de ce qu’il appelait « la musique absolue » doive être close et que la musique future doive, de par sa destinée, être une musique exclusivement wagnérienne, inaugurée à Bayreuth. Tous les grands génies produisent cette illusion ».
Bernard Shaw, Le Parfait Wagnérien

Et que disait Wagner lui-même ?

KINDER, MACHT NEUES !
INNOVEZ, LES ENFANTS !

 

Plus d'informations sur Richard Wagner sur le site richard-wagner-web-museum.com

Quelques illustrations

Toutes les illustrations © richard-wagner-web-museum.com

Quelques extraits logo mp3

Les fées (ouverture)

La défense d'aimer (ouverture)

Rienzi (ouverture)

Le Hollandais volant (ouverture)

Tannhäuser (ouverture)

Lohengrin (prélude)

Tristan et Isolde (prélude)

Les Maîtres chanteurs de Nuremberg (ouverture)

Parsifal (ouverture)

L'or du Rhin (ouverture)

La chevauchée des Walkyries

Siegfried (extrait)

Le Crépuscule des Dieux (extrait)

Wesendonck Lieder (extrait)

Siegfried Idyll (extrait)

Du siehst, mein Sohn. Parsifal, acte 1